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Qu’est-ce que la dépression saisonnière ?
La dépression saisonnière, aussi appelée Trouble Affectif Saisonnier (TAS), est définie par l’Institut National des Maladies Mentales comme un épisode dépressif qui survient à l’automne ou en hiver durant au moins deux années successives, avec rémission complète au printemps ou en été. Durant la période hivernale, les journées sont courtes et la luminosité est moins intense, pouvant passer de 100 000 lux (unité de mesure de la luminosité) à parfois 2 000 lux. Le TAS hivernal serait alors lié au déficit de lumière naturelle subit par notre organisme.
Comment la reconnaître ?
Les symptômes apparaissent entre novembre et février avec un pic en décembre et janvier, suivi d’une rémission spontanée au printemps. Les patients décrivent une humeur triste, une hypersomnie (somnolence excessive en journée), une hyperphagie (consommation excessive de nourriture) surtout pour le sucre et les féculents, une baisse d’activité et un isolement social.
Il ne faut pas confondre ‘dépression saisonnière’ et ‘blues hivernal‘ : se manifestant par une perte d’élan et d’envie, cette déprime fréquente en fin d’année impacte l’humeur et la forme sur une durée qui n’est que passagère.
Comment lutter contre la dépression saisonnière ?
- Adopter un régime alimentaire sain et équilibré ;
- Entretenir sa vie sociale (notamment son cercle familial et amical proche) ;
- Entretenir une activité sportive régulière ;
- Prendre l’air et la lumière le plus souvent possible ;
- Aérer son intérieur tous les jours ;
- Décorer son habitation de manière claire et lumineuse ;
- Pratiquer la luminothérapie (usage d’une lumière artificielle de haute intensité pour soulager les symptômes et réguler l’humeur).
Bon à savoir : des lampes de luminothérapie sont disponibles dans le commerce pour être utilisées au travail ou à la maison, ne vous en privez pas !
La dépression saisonnière est tout aussi grave que la dépression ‘classique’ : c’est une maladie au sens clinique du terme. Une consultation chez un professionnel de santé est donc indispensable pour éviter les récidives et les aggravations, au moyen de séances de psychothérapie voire d’une aide médicamenteuse.
Bien que la dépression saisonnière puisse gravement affecter notre bien-être, il est possible de minimiser son impact et de retrouver une meilleure qualité de vie en reconnaissant ses signes et en adoptant des solutions appropriées.
Sources :
- National Institute of Mental Health (NIMH) – Transforming the understanding and treatment of mental illnesses
- Dépression Saisonnière : Causes, Symptômes et Solutions (bulleantistress.com)
- Dépression saisonnière : tout ce qu’il faut savoir (passeportsante.net)
- Dépression saisonnière : 3 étapes pour la soigner définitivement (la-clinique-e-sante.com)
Vous avez des questions sur Vivinter ? Nous sommes présents à vos côtés et à votre écoute !
Du lundi au vendredi de 8h30 à 18h00 au 01 70 91 39 01 (numéro non surtaxé).
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CONTACTSCARCEPT Prévoyance
En l’absence d’une désignation particulière expresse dûment notifiée par vos soins à l’Institution, le capital décès est versé selon l’ordre de priorité ci-après :
- votre conjoint survivant, non divorcé, non séparé de corps judiciairement ou de fait ou le partenaire auquel vous êtes lié par un PACS.
En cas de polygamie valable en droit en raison de votre nationalité ou du lieu de votre mariage, le capital est réparti par parts égales entre vos conjoints non divorcés, non séparés de corps judiciairement ou de fait. - à défaut, votre concubin peut, s’il répond aux conditions définies dans la Notice d’Information CARCEPT-Prévoyance (8169 – 8171 – 8172), être assimilé à votre conjoint ;
- à défaut, et par parts égales, vos enfants à charge tels que définis dans la Notice d’Information CARCEPT-Prévoyance (8169 – 8171 – 8172) pour l’ouverture du droit à la majoration du capital ;
- à défaut, et par parts égales, vos autres enfants, vivants ou représentés ;
- à défaut, et par parts égales, vos ascendants ;
- à défaut, et par parts égales, vos héritiers.
AG2R
En cas de décès du participant, il est versé un capital au(x) bénéficiaire(s) désigné(s) librement par le participant. À défaut de désignation d’un bénéficiaire par le participant notifiée à l’Institution ou lorsque cette désignation est caduque, le capital est versé :
- au conjoint du participant non séparé judiciairement ou, à défaut, à son partenaire de PACS ;
- et à défaut de conjoint ou de partenaire de PACS, par parts égales entre eux :
- aux enfants du participant, nés ou représentés, légitimes, reconnus ou adoptifs ;
- à défaut de descendance directe, à ses parents ou, à défaut, à ses grands-parents survivants ;
- à défaut de tous les susnommés, à ses héritiers (le capital est versé par parts égales entre les héritiers et non en proportion de leur vocation successorale).
Par désignation caduque, il faut entendre la désignation initialement faite par le participant qui se trouve privée d’effet lorsque le bénéficiaire désigné prédécède au participant ou s’il décède en même temps que ce dernier alors qu’aucune clause de représentation n’a été prévue. La désignation est également caduque si, à la date du décès du participant, le bénéficiaire désigné a perdu la qualité au titre de laquelle il avait été initialement désigné, si aucun autre bénéficiaire n’a été désigné par le participant (cas par exemple d’une personne désignée par la qualité « mon conjoint » qui, par l’effet d’un jugement de divorce définitif, perd sa qualité de bénéficiaire au décès du participant).
FERMEREn cas de décès du participant, il est versé un capital au(x) bénéficiaire(s) désigné(s) librement par le participant.
À défaut de désignation d’un bénéficiaire par le participant notifiée à l’Institution ou lorsque cette désignation est caduque, le capital est versé :
- au conjoint du participant non séparé judiciairement ou, à défaut, à son partenaire de PACS ;
- et à défaut de conjoint ou de partenaire de PACS, par parts égales entre eux :
- aux enfants du participant, nés ou représentés, légitimes, reconnus ou adoptifs ;
- à défaut de descendance directe, à ses parents ou, à défaut, à ses grands-parents survivants ;
- à défaut de tous les susnommés, à ses héritiers (le capital est versé par parts égales entre les héritiers et non en proportion de leur vocation successorale).
Par désignation caduque, il faut entendre la désignation initialement faite par le participant qui se trouve privée d’effet lorsque le bénéficiaire désigné prédécède au participant ou s’il décède en même temps que ce dernier alors qu’aucune clause de représentation n’a été prévue. La désignation est également caduque si, à la date du décès du participant, le bénéficiaire désigné a perdu la qualité au titre de laquelle il avait été initialement désigné, si aucun autre bénéficiaire n’a été désigné par le participant (cas par exemple d’une personne désignée par la qualité « mon conjoint » qui, par l’effet d’un jugement de divorce définitif, perd sa qualité de bénéficiaire au décès du participant).
FERMERSauf désignation particulière expresse dûment notifiée par vous-même à l’Institution, et sous réserve de dispositions spécifiques prévues sur le récapitulatif des garanties en annexe, le capital de base est payable :
- à votre conjoint, tel que défini précédemment ;
- à votre concubin, tel que défini précédemment ;
- à défaut, à vos enfants, vivants ou représentés, par parts égales entre eux ;
- à défaut, à vos ascendants, par parts égales entre eux et en cas de décès de l’un d’eux la totalité au survivant ;
- à défaut, à vos héritiers.
Dans l’hypothèse où le(s) bénéficiaire(s) désigné(s) décède(nt) avant le Participant, le capital sera attribué dans l’ordre défini ci-dessus en l’absence de désignation.
FERMERS’agissant du versement du capital décès, à défaut de désignation particulière du bénéficiaire, ou si cette désignation est devenue caduque, le(s) bénéficiaire(s) du capital garanti sont :
- En priorité le conjoint survivant, judiciairement non séparé, non divorcé ou le partenaire lié par un P.A.C.S. à condition qu’il ne soit pas séparé au moment du décès;
- À défaut, les enfants de l’agent assuré, y compris adoptifs (adoption simple ou plénière), vivants ou représentés, nés ou à naître, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut, le père et la mère de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut, les frères et sœurs de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut de tous les susnommés, les héritiers de l’agent assuré, tels que définis, selon le cas, par la dévolution successorale ou l’attestation des héritiers, par parts égales entre eux
1 / Perte de traitement consécutive à une incapacité temporaire de travail
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La garantie Incapacité temporaire de travail indemnise l’agent pour l’ensemble de ses arrêts de travail dès le passage à demi-traitement (hors AT/MP statutairement à la charge de l’employeur)
2/ Perte de traitement consécutive à une invalidité
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La garantie Invalidité complète le traitement de l’agent du jour de son passage en retraite pour Invalidité jusqu’à la date de son passage en retraite à taux plein
3 / Capital Décès / Porte Totale et Irréversible d’Autonomie
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La garantie Décès permet le versement d’un capital à la hauteur de 100% du TIB de l’agent
4 / Minoration de pension de retraite consécutive à une invalidité
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La garantie Perte de retraite complète le manque à gagner subi par l’agent en situation d’Invalidité permanente jusqu’à la date de son passage en retraite à taux plein
S’agissant du versement du capital décès, à défaut de désignation particulière du bénéficiaire, ou si cette désignation est devenue caduque, le(s) bénéficiaire(s) du capital garanti sont :
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En priorité le conjoint survivant, judiciairement non séparé, non divorcé ou le partenaire lié par un P.A.C.S. à condition qu’il ne soit pas séparé au moment du décès;
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À défaut, les enfants de l’agent assuré, y compris adoptifs (adoption simple ou plénière), vivants ou représentés, nés ou à naître, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
-
À défaut, le père et la mère de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
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À défaut, les frères et sœurs de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
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À défaut de tous les susnommés, les héritiers de l’agent assuré, tels que définis, selon le cas, par la dévolution successorale ou l’attestation des héritiers, par parts égales entre eux