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Loi Lemoine et assurance emprunteur : simplifiez votre prêt immobilier
La souscription d’un prêt immobilier est souvent l’une des étapes les plus importante de la vie financière pour de nombreuses personnes. C’est une décision qui engage sur le long terme, et elle nécessite une planification rigoureuse et une bonne compréhension des différentes composantes, dont l’assurance emprunteur. Cette protection est très importante. Elle garantit le remboursement de votre prêt si des événements imprévus se produisent. Cela inclut le décès, l’invalidité ou la perte d’emploi.
Cependant, naviguer dans les complexités de l’assurance emprunteur peut s’avérer déroutant pour beaucoup. La Loi Lemoine a transformé certaines de ces dynamiques, rendant le processus un peu plus accessible pour les emprunteurs. Cet article vise à éclaircir ce que la Loi Lemoine signifie pour vous et comment elle simplifie votre assurance emprunteur.
Au sommaire :
Qu’est-ce que la loi Lemoine pour l’assurance emprunteur ?
Objectifs de la loi Lemoine
La loi Lemoine, adoptée en France en 2022, veut réformer le marché de l’assurance emprunteur. Elle cherche à le rendre plus accessible, équitable et flexible pour les emprunteurs. Elle cherche à renforcer la protection des consommateurs tout en stimulant la concurrence entre les assureurs.
Principales réformes introduites par la loi Lemoine
Qui peut bénéficier de la loi Lemoine ?
La loi Lemoine s’adresse à tous les emprunteurs ayant souscrit un crédit immobilier. Cela inclut :
- Les particuliers ayant un projet d’achat immobilier.
- Ceux qui souhaitent renégocier leur assurance pour obtenir de meilleures garanties ou réduire leurs coûts.
Les prêts professionnels et les crédits à la consommation ne sont pas éligibles à la loi Lemoine.
Impact de la loi Lemoine sur les crédits immobiliers
Mieux gérer votre assurance emprunteur
La loi Lemoine introduit une plus grande liberté pour les emprunteurs. Avec la possibilité de résilier à tout moment son contrat, il devient plus simple de trouver une offre d’assurance plus avantageuse. Cette flexibilité permet :
- Une réduction des coûts en comparant les offres.
- Une adaptation des garanties à vos besoins réels, évitant les surcoûts inutiles.
Conséquences sur les crédits bancaires
Les banques, historiquement dominantes sur le marché de l’assurance emprunteur, doivent faire face à une concurrence accrue. Les emprunteurs ont donc accès à :
- Des tarifs plus compétitifs.
- Une qualité de service améliorée, les assureurs cherchant à se différencier.
Exemples d’économies possibles grâce à la loi Lemoine
Pour un emprunt de 200 000 €, changer d’assurance peut faire économiser entre 10 000 et 15 000 € sur le coût total.
Simulez le coût de votre assurance emprunteur !
Envie d’en savoir plus sur ? Découvrez notre article : la loi Lagarde une révolution pour l’Assurance Emprunteur
Comment optimiser son assurance emprunteur avec la Loi Lemoine ?
Changer d’assurance emprunteur : les étapes à suivre
- Analysez votre contrat actuel :
Avant de prendre une décision, examinez attentivement votre contrat d’assurance actuel. Faites attention aux garanties offertes (décès, invalidité, incapacité, perte d’emploi). Regardez aussi les exclusions de garanties. Vérifiez les délais de carence et le coût total de l’assurance. Cette analyse vous permettra de mieux comprendre vos besoins et de comparer les offres de manière éclairée. - Comparez les offres :
La plupart des assureurs connaissent bien les exigences spécifiques de chaque banque en matière d’assurance emprunteur, notamment dans le cadre des dispositions de la loi Lemoine. - Souscrivez une nouvelle assurance :
Une fois l’offre idéale identifiée, procédez à la souscription de votre nouvelle assurance emprunteur. Assurez-vous que les garanties proposées sont équivalentes ou supérieures à celles de votre contrat actuel, comme l’exige la loi. Notre partenaire AFI ESCA s’assure de respecter les critères de votre banque et peut vous accompagner dans la mise en place du nouveau contrat à tout moment. - Résiliez l’ancienne assurance :
Informez votre banque de votre intention de changer d’assurance en lui adressant une demande de substitution. Joignez à cette demande le nouveau contrat, ainsi qu’un courrier de résiliation pour l’ancien contrat. Respectez les procédures prévues par la loi (notamment l’envoi par courrier recommandé) et les délais imposés. La banque doit vous donner son accord de substitution dans les 10 jours ouvrés. Une fois votre demande validée, votre nouvelle assurance prendra le relais.
Les critères pour bien choisir son assurance emprunteur
Pour bien choisir son assurance emprunteur, plusieurs critères importants sont à prendre en compte.
Tout d’abord, assurez-vous d’obtenir un bon rapport qualité-prix en analysant à la fois les garanties proposées et les tarifs. Une assurance doit répondre à vos besoins sans coûter trop cher. Elle ne doit pas non plus négliger des garanties importantes. Cela inclut la couverture en cas de décès, d’invalidité ou d’incapacité.
Faites le choix d’un contrat qui s’adaptera à votre situation personnelle ou professionnelle.
Enfin, examinez attentivement les exclusions de garanties, ces situations spécifiques où la couverture ne s’applique pas. Cela peut inclure des conditions médicales préexistantes ou des activités considérées à risque.
Une bonne compréhension de ces exclusions est indispensable pour éviter toute mauvaise surprise en cas de sinistre.
Les pièges à éviter lors de la souscription
- Ne pas comparer suffisamment d’offres.
- Accepter des garanties inutiles ou inadéquates.
- Ignorer les délais de carence ou les clauses restrictives.
- Se focaliser uniquement sur le tarif, sans bénéficier d’un accompagnement adapté pour évaluer vos besoins réels et les garanties essentielles.
En vous faisant accompagner par des experts et en profitant des opportunités offertes par la Loi Lemoine,
vous pouvez optimiser votre assurance emprunteur et réaliser des économies tout en sécurisant efficacement votre crédit immobilier.
Envoyez votre dossier à l’adresse e-mail suivante : salaire.permanent@startpeople.fr
N’oubliez pas de joindre le justificatif correspondant à votre demande de dispense.
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N’oubliez pas de joindre :
- votre attestation de droits Sécurité sociale ;
- votre RIB pour les remboursements.
Vous avez des questions sur Vivinter ? Nous sommes présents à vos côtés et à votre écoute !
Du lundi au vendredi de 8h30 à 18h00 au 01 70 91 39 01 (numéro non surtaxé).
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CONTACTSCARCEPT Prévoyance
En l’absence d’une désignation particulière expresse dûment notifiée par vos soins à l’Institution, le capital décès est versé selon l’ordre de priorité ci-après :
- votre conjoint survivant, non divorcé, non séparé de corps judiciairement ou de fait ou le partenaire auquel vous êtes lié par un PACS.
En cas de polygamie valable en droit en raison de votre nationalité ou du lieu de votre mariage, le capital est réparti par parts égales entre vos conjoints non divorcés, non séparés de corps judiciairement ou de fait. - à défaut, votre concubin peut, s’il répond aux conditions définies dans la Notice d’Information CARCEPT-Prévoyance (8169 – 8171 – 8172), être assimilé à votre conjoint ;
- à défaut, et par parts égales, vos enfants à charge tels que définis dans la Notice d’Information CARCEPT-Prévoyance (8169 – 8171 – 8172) pour l’ouverture du droit à la majoration du capital ;
- à défaut, et par parts égales, vos autres enfants, vivants ou représentés ;
- à défaut, et par parts égales, vos ascendants ;
- à défaut, et par parts égales, vos héritiers.
AG2R
En cas de décès du participant, il est versé un capital au(x) bénéficiaire(s) désigné(s) librement par le participant. À défaut de désignation d’un bénéficiaire par le participant notifiée à l’Institution ou lorsque cette désignation est caduque, le capital est versé :
- au conjoint du participant non séparé judiciairement ou, à défaut, à son partenaire de PACS ;
- et à défaut de conjoint ou de partenaire de PACS, par parts égales entre eux :
- aux enfants du participant, nés ou représentés, légitimes, reconnus ou adoptifs ;
- à défaut de descendance directe, à ses parents ou, à défaut, à ses grands-parents survivants ;
- à défaut de tous les susnommés, à ses héritiers (le capital est versé par parts égales entre les héritiers et non en proportion de leur vocation successorale).
Par désignation caduque, il faut entendre la désignation initialement faite par le participant qui se trouve privée d’effet lorsque le bénéficiaire désigné prédécède au participant ou s’il décède en même temps que ce dernier alors qu’aucune clause de représentation n’a été prévue. La désignation est également caduque si, à la date du décès du participant, le bénéficiaire désigné a perdu la qualité au titre de laquelle il avait été initialement désigné, si aucun autre bénéficiaire n’a été désigné par le participant (cas par exemple d’une personne désignée par la qualité « mon conjoint » qui, par l’effet d’un jugement de divorce définitif, perd sa qualité de bénéficiaire au décès du participant).
FERMEREn cas de décès du participant, il est versé un capital au(x) bénéficiaire(s) désigné(s) librement par le participant.
À défaut de désignation d’un bénéficiaire par le participant notifiée à l’Institution ou lorsque cette désignation est caduque, le capital est versé :
- au conjoint du participant non séparé judiciairement ou, à défaut, à son partenaire de PACS ;
- et à défaut de conjoint ou de partenaire de PACS, par parts égales entre eux :
- aux enfants du participant, nés ou représentés, légitimes, reconnus ou adoptifs ;
- à défaut de descendance directe, à ses parents ou, à défaut, à ses grands-parents survivants ;
- à défaut de tous les susnommés, à ses héritiers (le capital est versé par parts égales entre les héritiers et non en proportion de leur vocation successorale).
Par désignation caduque, il faut entendre la désignation initialement faite par le participant qui se trouve privée d’effet lorsque le bénéficiaire désigné prédécède au participant ou s’il décède en même temps que ce dernier alors qu’aucune clause de représentation n’a été prévue. La désignation est également caduque si, à la date du décès du participant, le bénéficiaire désigné a perdu la qualité au titre de laquelle il avait été initialement désigné, si aucun autre bénéficiaire n’a été désigné par le participant (cas par exemple d’une personne désignée par la qualité « mon conjoint » qui, par l’effet d’un jugement de divorce définitif, perd sa qualité de bénéficiaire au décès du participant).
FERMERSauf désignation particulière expresse dûment notifiée par vous-même à l’Institution, et sous réserve de dispositions spécifiques prévues sur le récapitulatif des garanties en annexe, le capital de base est payable :
- à votre conjoint, tel que défini précédemment ;
- à votre concubin, tel que défini précédemment ;
- à défaut, à vos enfants, vivants ou représentés, par parts égales entre eux ;
- à défaut, à vos ascendants, par parts égales entre eux et en cas de décès de l’un d’eux la totalité au survivant ;
- à défaut, à vos héritiers.
Dans l’hypothèse où le(s) bénéficiaire(s) désigné(s) décède(nt) avant le Participant, le capital sera attribué dans l’ordre défini ci-dessus en l’absence de désignation.
FERMERS’agissant du versement du capital décès, à défaut de désignation particulière du bénéficiaire, ou si cette désignation est devenue caduque, le(s) bénéficiaire(s) du capital garanti sont :
- En priorité le conjoint survivant, judiciairement non séparé, non divorcé ou le partenaire lié par un P.A.C.S. à condition qu’il ne soit pas séparé au moment du décès;
- À défaut, les enfants de l’agent assuré, y compris adoptifs (adoption simple ou plénière), vivants ou représentés, nés ou à naître, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut, le père et la mère de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut, les frères et sœurs de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
- À défaut de tous les susnommés, les héritiers de l’agent assuré, tels que définis, selon le cas, par la dévolution successorale ou l’attestation des héritiers, par parts égales entre eux
1 / Perte de traitement consécutive à une incapacité temporaire de travail
-
La garantie Incapacité temporaire de travail indemnise l’agent pour l’ensemble de ses arrêts de travail dès le passage à demi-traitement (hors AT/MP statutairement à la charge de l’employeur)
2/ Perte de traitement consécutive à une invalidité
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La garantie Invalidité complète le traitement de l’agent du jour de son passage en retraite pour Invalidité jusqu’à la date de son passage en retraite à taux plein
3 / Capital Décès / Porte Totale et Irréversible d’Autonomie
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La garantie Décès permet le versement d’un capital à la hauteur de 100% du TIB de l’agent
4 / Minoration de pension de retraite consécutive à une invalidité
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La garantie Perte de retraite complète le manque à gagner subi par l’agent en situation d’Invalidité permanente jusqu’à la date de son passage en retraite à taux plein
S’agissant du versement du capital décès, à défaut de désignation particulière du bénéficiaire, ou si cette désignation est devenue caduque, le(s) bénéficiaire(s) du capital garanti sont :
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En priorité le conjoint survivant, judiciairement non séparé, non divorcé ou le partenaire lié par un P.A.C.S. à condition qu’il ne soit pas séparé au moment du décès;
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À défaut, les enfants de l’agent assuré, y compris adoptifs (adoption simple ou plénière), vivants ou représentés, nés ou à naître, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
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À défaut, le père et la mère de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
-
À défaut, les frères et sœurs de l’agent assuré, biologiques et/ou adoptifs, vivants, par parts égales entre eux ou les survivants d’entre eux ;
-
À défaut de tous les susnommés, les héritiers de l’agent assuré, tels que définis, selon le cas, par la dévolution successorale ou l’attestation des héritiers, par parts égales entre eux